RESUME:
Dans les régions arides, Il y a une pression accrue sur les ressources en eau dû à l'augmentation de la demande en eau d'irrigation, le changement climatique et l'accroissement de la
population. A part ces problèmes on enregistre que les méthodes d'irrigation actuelles n'utilisent qu'une infime partie pour le bénéfice de la plante et la majeure partie est perdue par
percolation et évaporation à cause de la mauvaise gestion des ressources en eau en agriculture. Il y a une nécessité absol ue pour introduire des nouvelles techniques innovantes d'irrigation qui permettent l'économie d'eau et facilitent la gestion de l’irrigation. Par:
- L’adoption des méthodes d’irrigation appropriées qui améliorent l’efficience de l’utilisation l’eau.
- La réduction de l’évaporation du sol et la percolation profonde.
- Le maintien de l’humidité de sol dans une fourchette favorable pour le développement des plantes.
Plusieurs méthodes de gestion d’irrigation ont été développé et utilisés durant ces dernières décennies mais l’adoption de la majorité de ces techniques est limité par le cout, le temps d’installation, la maintenance ou bien par des difficultés locales.
Le pilotage d’irrigation est un outil primordial pour la production végétale, particulièrement dans les régions arides et semi arides. Ainsi, l’objectif de pilotage d’irrigation est d’assurer un teneur adéquat d’humidité du sol pour minimiser le stress de la plante durant les stages critiques
de croissance.
Dans notre travail on essaye de s’appuyer sur les résultats obtenus du projet de pilotage tensiométrique d‘irrigation sur palmier dattier pour élaborer des normes et les comparer avec
d’autre technique de pilotage tel quelles:
- Suivi de l’humidité du sol (tensiomètre, sonde Watermark,....).
- Utilisation de station météorologique.
- Modèles de bilan hydrique.
- Mesure des paramètres relatifs à la plante.
En plus des techniques innovantes par l’utilisation d’un tuyau autorégulant enterré ce dernier est inspiré à partir d’une technique ancienne basée sur l’emplacement d’un pot d’argile à côté de la zone racinaire.
Notre objectif est d’évaluer les différentes techniques citées ci-dessus en se basant sur les critères suivantes:
- Economie en eau;
- Réduction de l’évapotranspiration;
- Efficience de l’utilisation de l’eau;
- Productivité;
- Teneur d’humidité conservée dans le sol;
- Dépôt salin autour de la zone racinaire.