Plan d'eau d'origine naturelle pour lequel une durée de séjour relativement longue des eaux et une profondeur suffisante permettent de définir une zone pélagique (pleine eau) où s'établit à certaines époques de l'année, une stratification thermique stable. On peut distinguer les lacs de montagne qui sont alimentés par les torrents, les lacs de plaine et les lacs littoraux (Carcans, Lacanau…).
Traitement biochimique: stockage de l’eau résiduaire durant le temps nécessaire à la production de la dégradation de la matière organique par bactéries hétérotrophes. Les lagunes sont constituées de plans d’eau peu profonds, en général au nombre de trois. L’apport d’oxygène naturel, par échange avec l’atmosphère ou par photosynthèse des algues de surface, peut être complété exceptionnellement par des aérateurs pour stimuler l’activité biologique et diminuer les surfaces.
La légionellose est une maladie provoqué par la légionella, bactérie présente de façon naturelle dans l'eau, notamment lorsque celle-ci est conservée à une température relativement élevée (40°C). La légionellose se caractérise principalement par de graves infections pulmonaires, pouvant être mortelles.
eaux souterraines et les eaux douces superficielles, notamment celles servant au captage d'eau destinée à la consommation humaine, dont la teneur en nitrate est supérieure à 50 milligrammes par litre ; eaux des estuaires, eaux côtières et marines et eaux douces superficielles qui ont subi une eutrophisation susceptible d'être combattue de manière efficace par une réduction des apports en azote.
eaux souterraines et eaux douces superficielles, notamment celles servant au captage d'eau destinée à la consommation humaine, dont la teneur en nitrate est comprise entre 40 et 50 milligrammes par litre et montre une tendance à la hausse ; eaux des estuaires, eaux côtières et marines et eaux douces superficielles dont les principales caractéristiques montrent une tendance à une eutrophisation susceptible d'être combattue de manière efficace par une réduction des apports en azote.
Entraînement en profondeur par l'eau des sels solubles des colloïdes du sol. En particulier, les nitrates et certains produits phytosanitaires (ou leurs produits de dégradation) peuvent ainsi atteindre les nappes d'eau et en altérer la qualité, jusqu'à rendre l'eau impropre à la consommation.
Pour l’air, c’est l’entraînement par les précipitations de poussières, gaz, aérosols, etc. contenus dans l'atmosphère.
Une liaison chimique définit le mode d’attachement des atomes dans une molécule. Dans le cas d’une liaison covalente, chacun des deux atomes liés met en commun un ou plusieurs électrons (liaisons covalentes simples ou multiples) de sa couche périphérique. La liaison covalente qui est entre l’oxygène et l’hydrogène de la même molécule d’eau, est d’environ 90 Kcal/mol.
- Matériau non organique à grains fins, dont le diamètre nominal des particules varie de 0,02 à 0,002 mm suivant les normes de l'Association internationale de la science des sols, ou de 0,05 à 0,005 mm suivant les normes de l'US Bureau of Soils (classification granulométrique).
- Matériau meuble appartenant à la fraction la plus fine, dont la plupart des particules sont plus petites que des grains de sable et plus grosses que des particules d'argile.
Pour certains, il correspond à la ceinture des terres émergées et des aires toujours submergées. Pour d'autres, le terme se restreint au trait de côte, à l'estran, ou au contraire s'étend à toutes les terres qui sont influencées par la présence de la mer. Au point de vue juridique, le littoral est "l'ensemble des sites naturels en bordure de mer dont la situation particulière confère une qualité exceptionnelle très estimée et qui mérite d'être protégée".
Récipient enterré de manière que son bord supérieur soit au niveau du sol et rempli avec la terre provenant de la fouille, destiné à l'étude de certaines phases du cycle hydrologique comme l'infiltration, l'écoulement, l'évapotranspiration, le transport de constituants solubles par drainage, etc.